Témoignages

25 juillet 2018

Témoignage de Maëlle, 30 ans, Intervenante sociale, cliente du forfait PÉPITE

Avant de débuter l'accompagnement, je souhaitais être plus au clair sur mes compétences et mes envies, faire un bilan de mes expériences professionnelles et comprendre ce qui m’avait mise en difficulté et pourquoi j’en étais là à ce moment, faire le tri entre mes intérêts professionnels et personnels et déterminer une ou des activités professionnelles dans lesquelles j’étais susceptible de m’épanouir. Je voulais reprendre confiance en moi et être prête à engager des actions.
13 décembre 2018

Témoignage d’Olivier, 33 ans, Responsable technique, client du forfait PÉPITE

Avant de rencontrer Anne France j'étais cadre dans une grande société… J'encadrais une équipe et je devais maintenir une activité importante tout en reprenant le travail précédent non achevé. J'étais rentré dans une routine effrénée qui consistait à "éteindre le feu" en permanence et en n'ayant plus la faculté de recul nécessaire pour réfléchir à mon avenir. Je fonçais tête baissée et advienne que pourra… Ma compagne a su me faire prendre conscience que le rythme effréné dans lequel je me trouvais n'était pas sain pour moi et surtout pour ma famille. Suite à un article passé dans un journal local, j'ai rencontré Anne France pour une séance "découverte", elle m'a expliqué comment elle travaillait, ce qui m'a séduit.
19 mars 2019

Témoignage de Christèle, 49 ans, Conseillère emploi, accompagnée pour créer son entreprise

J’étais déjà sur le chemin de la création d’une petite entreprise de loisirs créatifs, mais j’avançais dans la mise en place d’ateliers de façon instinctive, et face à une forêt d’infos pas toujours précises j’avais besoin « d’outils d’élagage » pour passer à l’étape supérieure et concrétiser mon projet par une création
9 octobre 2019

Témoignage de Sylvie, 47 ans, Assistante de direction, cliente du forfait Popcorn

Lorsque j'ai rencontré Anne-France j'étais dans une situation professionnelle catastrophique. J'avais tenté seule une première reconversion (...) cependant le manque de travail sur moi et sur mes aspirations profondes, m'ont conduit progressivement vers une instabilité et une insécurité anxiogènes, idéales pour développer un mal-être professionnel.